Prise d'otages [Réservé aux membres inscrits]

Luke etait entre Kayla et Mary mais garder tout de meme un oeil sur son frere . Il essaya de leur sourire , comme pour leur faire garder leur sang froid , les rassurer . Il regarda la femme , la preneuse d'otages : malgré le fait qu'elle était un peu tarée , Luke se demandait s'il n'y avait pas moyen de la calmer pour ne pas que tout finisse en carnage . Il se tourna vers Mary avant de lui faire un faible sourire .. Luke etait assis sur le sol , et regarda tour a tour les otages : Haley , Evan , Elea , Susan , Mary , Ryan , Kayla , Lena , Jamie , Leah , Gino ..
Apres un moment de silence ou la jeune femme semblait extremement calme , elle leur dit de se lever et d'entrer dans la reserve , une piece peu grande avec une seule et minuscule fenetre . Le jeune homme les regarda se lever , un par un et imita les autres . Alors que Ryan et Kayla etaient devant lui , Luke passa derriere Mary , pour la protégée . En dernier , il entra dans la fameuse reserve et resta debout alors que la plupart des autres otages etaient assis sur le sol ..
Ellen ne perdit pas de temps et ferma la porte derriere Luke . Il soupira alors avant de se tourner vers sa soeur . Lui n'avait pas pris son téléphone , ne pensant pas en avoir besoin . Il dit alors a voix basse :

" Kayla , donne moi ton téléphone .. "

Celle ci lui donna tout de suite et le jeune Luke composa alors le 911 rapidement , evitant ainsi que Ellen ne pense a leur retirer le portable . Luke expliqua rapidement la situation a la jeune femme qui venait de décrocher . Il se tourna alors vers les autres otages et dit tout aussi silencieusement

" Essayer de joindre le 911 aussi mais parler doucement .. "

Un bruit de sirene le coupa alors , la Police ainsi que des ambulances venaient d'arriver sur le parking du supermarché ..

[vraiment désolé du retard...]

Des larmes de rage perlaient au coin des yeux injectés de sang d’Ellen. Tout était en train de capoter… Tout ça n’était pas prévu… Mon Dieu mais qu’allait-elle faire maintenant ? Elle n’avait plus rien à craindre, elle savait son destin scellé depuis longtemps. Mais tout était en train d’échapper à son contrôle.

Tout ce qu’elle voulait, c’était foutre une balle entre les deux yeux de ce connard d’homme qu’elle avait appelé mari pendant des années. Et une autre dans son appareil génital, tant qu’à faire. Ça lui apprendrait à se taper des minettes !

Ellen fut soudain tirée de ses pensées par la sonnerie d’un téléphone portable venant de la pièce ou elle avait enfermé les otages. Elle sursauta et écarquilla les yeux. Mais quelle idiote ! Elle avait oublié de leur prendre leur téléphone portable ! Elle avait vraiment des progrès à faire en tant que preneuse d’otages…

Dehors, elle entendait les policiers commencer à se déployer autour du magasin. Elle n’avait pas peur. Son regard se posa un instant sur son arme, et elle frémit. Il fallait qu’elle se coupe du monde, sinon elle savait que sa détermination pouvait fléchir… Elle ouvrit alors la porte de la remise, pointant son arme bien en avant pour dissuader tout le monde de jouer les héros, et attrapa une ‘gamine’, une fille qui devait avoir une vingtaine d’année, par les cheveux. Elle la fit donc se relever et pointa le canon vers le tempe de la jeune femme.

« Maintenant donnez moi tous vos portables ou je lui fais sauter la cervelle. »

Une fois qu’elle les eut récupéré, elle les éclata tous avec son talon. Puis, s’adressant à la jeune femme qu’elle menaçait, elle murmura :

« Allez viens avec moi ma jolie, on va aller faire un tour… »

Pointant toujours son arme sur elle, elle alla jusqu’à l’avant du magasin. De ce fait elle entra dans le champ de vision des policiers, qui, alertés, pointèrent tous leur arme sur elle. Bien sur ils ne purent tirer, voyant qu’elle se servait d’une otage pour se protéger. Elle ferma alors la portes du magasin, ainsi que les rideaux de fer. L’endroit se retrouva plongé dans l’obscurité, l’électricité ayant été coupée quelques minutes plus tôt. Seul un néon, alimentait par le générateur de secours, diffusait toujours dans le grand magasin une très faible lueur…

Nombre de messages : 187 Age : 40 Love : Dan... Date d'inscription : 23/12/2006

[Bon bah comme la place de la fille qui se fait menacer d'une balle dans la tête n'est pas réservée , enfin je crois, et que je fais rien jusqu'a la fin, j'y cours ^^]

Haley était assise mine de rien par terre.Elle espérait de tout coeur que ca se finisse et qu'elle veuille bien les relacher.C'était moche à dire, mais elle espérait aussi de tout coeur qu'il arrive quelque chose à cette femme qui l'obligerait à tout arrêter.Elle entendit un portable elle aussi et elle se redressa en priant pour que ce ne soit pas le sien.Elle se sentit attrapée et relervée par la femme et elle poussa un petit cri.

Lach...

Elle n'osa pas se débatir, sentant le canon de l'arme sur sa tempe.Haley se raidit instantanément et elle ne dit plus rien.Elle se retrouva face au autres otages et les regardait d'un regard apeuré.C'était peut être comme ça qu'elle allait mourir...La tête explosée par une cinglée, devant des inconnus qu'elle avait croisé peut être une fois dans la rue...Puis, quand la "preneuse d'otages" lui dit qu'elles allaient faire un tour, Haley resta à ses côtés sans rien dire puis elles arrivèrent à l'avant du magasin, Haley regarda de tous les côtés et aperçut des policiers qui avaient visiblement l'air embarassés...En effet, elle était entre la femme qui la retenait et les policiers.Elle reporta son attention sur Ellen (Marre de dire "la femme" ^^) Et la regarda ne comprenant toujours pas comment elle avait pû arriver là...

Evan avait poser son regard sur Lèna, qui était avec son frère. Il aimerait bien qu'elle soit proche de lui. Mais ce n'était pas vraiment possible. Puis il sursauta, voyant Ellen prendre la fille assise à côté de lui et l'emmener dans le magasin. Avalant doucement sa salive, il posa sa tête sur ses genoux, vu qu'il était plié. Evan avait peur,c 'était bête à dire, mais peur qu'il lui arrive un truc, qu'il y est un mort, que Lèna est le moindre probèlme, car c'est quand même sa petite copine. Il soufflait doucement, écoutant tout se qui se passait, mais sans aucune envie de bouger de là. Simplement envie de se jetter sur Ellen et de lui chipper son arme

Nombre de messages : 55 Love : ... Date d'inscription : 19/12/2006

Eléa etait en totale panique intérieure. Elle chercha son propre portable dans son sac lorsque plusieurs personnes se mirent en quete de joindre les secours avant de se rendre compte qu'elle l'avait laissé sur son bureau. Elle frémit en entendant une sonnerie de portable s'élever dans le noir, si la femme l'entendait elle risquait de peter un plomb et ca n'allait en aucun cas arranger leur situation! Ses doutes se confimèrent quand la porte de la remise s'ouvrit et qu'Ellen attrapa une jeune fille par les cheveux et qu'elle en profita pour récuperer tous les portables. Elle fit de gros yeux en se plaquant contre le mur, affolée. Sa respiration s'accéléra sous le coup de la peur, elle aurait tellement voulu pouvoir aider cette fille, seulement l'arme que tenait leur bourreau etant bien trop dissuasive. Elle se contenta alors de fermer les yeux quelques secondes pour reprendre son calme lorsque la jeune fille et Ellen sortirent de la remise pour aller dans le magasin. Elle avait peur pour la jeune femme, se demandant si la femme etait assez folle pour la blesser ou meme la tuer. Dans ce genre de situation, le pire ets toujours a craindre...

Nombre de messages : 50 Love : Jake Date d'inscription : 17/12/2006

Ellen avait l’air aussi paniqué qu’eux. Et cela ne rassura pas Susan. Car ce genre de réaction pouvait aboutir à des gestes insensés, irréfléchis et dangereux. La seule chose positive était qu’elle semblait fragile et vulnérable ; avec de bons intervenants, elle pouvait être facilement maîtrisée. Pendant ce temps, le portable de Susan sonnait toujours et la sonnerie agaça vite la preneuse d’otages. Elle fit quelques pas et, tout ce que la mère de famille pût entendre fût le cri d’une jeune femme/fille.

«Maintenant donnez moi tous vos portables ou je lui fais sauter la cervelle. » réclama Ellen d’une voix autoritaire.

Susan donna donc son téléphone espérant voir la jeune femme libérée. Mais, avec les sirènes des policiers et des pompiers, des bruits des camions de télévision, les reporters plaqués autour du magasin, la criminelle utilisa son otage comme bouclier. On les vit disparaitre de la pièce ; quelques minutes plus tard, les bruits des stores se firent entendre. Ils étaient donc entièrement dans l’obscurité. On y est, se dit Susan, on va tous y passer.

A ce moment-là, elle ne pensait plus à rien. Sa tête était assaillie d’émotions divers et variés et il lui était impossible de faire preuve de lucidité même si, en apparence, elle semblait garder son plus grand calme.